Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience d'utilisateur sur notre site. En poursuivant votre navigation, nous considérons que vous acceptez la présence de ces cookies et l'utilisation qui en est faite. Pour plus d'informations, rendez-vous sur la page de la Politique de confidentialité des données.OKPolitique de confidentialité

Revue de presse du 12/05/2019 : Herta & Bridgestone

La presse du week-end revient sur les actions de Cathy Apourceau-Poly en faveur de l’industrie dans le Pas-de-Calais et du maintien des emplois.

Le Gobelin du Ternois du samedi 11 mai 2019 présente les interrogations de la sénatrice sur le cas Herta de Saint-Pol-sur-Ternoise. Le nombre de repreneurs potentiels reste flou, tout comme le type de repreneur. Alors que l’usine a bénéficié de millions d’euro d’investissement, l’État doit faire tout ce qui lui est possible pour éviter de laisser ce fleuron industriel tomber entre les mains d’un financier sans convictions industrielles.

La Voix du Nord, édition arrageoise-ternoise du dimanche 12 mai 2019, se fait aussi écho du cas Herta.

Au-delà de l’assurance du groupe de ne pas nuire aux emplois et à l’économie du département, Cathy Apourceau-Poly souhaite également voir se mettre en place une mesure d’accompagnement pour les salariés appelés à partir à la retraire dans les cinq prochaines années (près de 300 salariés). Le journal relate également le danger que représente les fonds spéculatifs qui ne cherchent que le profit à deux chiffres en cassant les structures pérennes.

Dans ses pages du dimanche 12 mai 2019, la Voix du Nord reprend les mots de Monsieur Jean-Pierre Floris, l’homme industrie du gouvernement, dans un courrier en réponse à l’interpellation de Cathy Apourceau-Poly sur le cas de Bridgestone Béthune.

La réponse du gouvernement n’est pas satisfaisante. Bien que le gouvernement souligne le manque d’investissements qu’à connu Bridgestone Béthune dans les dernières décennies, la seule réponse qui est apportée est le soutien à l’accord de performance. Cet accord n’est pas la réponse à la situation. En effet, ce sont encore une fois les salariés, producteurs de richesses, qui doivent payer les pots cassés, c’est-à-dire baisser leurs salaires alors que le groupe n’a pas investi pour conserver une usine moderne et rentable à tout point de vue.