Cathy Apourceau-Poly a rencontré les représentants syndicaux de l’AFPA Hauts-de-France, particulièrement inquiets de la situation dans notre région.
Perte de marchés du Plan régional de formation, absence de réponse politique : les alertes sont claires, les conséquences très concrètes. Ce sont des emplois menacés, des formateurs déconsidérés et un service public de la formation professionnelle en péril.
L’AFPA forme chaque année des milliers de personnes dans les métiers de l’industrie, du bâtiment, du soin et de bien d’autres secteurs. Dans un pays qui parle de réindustrialisation, sacrifier cet outil serait une faute.
La sénatrice a interpellé la ministre du Travail pour qu’elle apporte des réponses claires sur la situation. La formation professionnelle n’est pas un coût. C’est un investissement dans l’avenir productif du pays !
